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Débat loi n° 1100

 

À l’État pur dans un jeu de quilles


Lorsque l’État nous la fait à l’envers : tulaS ¡

On peut dire qu’on y fait tout ce qu’y ont fait

de l’organisme les partis du droit français

On ne peut dire qu’on°y°a fait tout ce qui y’a

On a tout essayé : n’est ni un fait, ni vrai

Au doigt rassis veut-on voter le cul levé,

la séance n’aura pas abordé les cas

multiples de l’éducation niveau caca

confinée dans les besoins de l’État qui vaut

dans l’inconnu, le mensonge et la place,

le rang des invités méchamment au pivot

piqués de vouloir jouer Bobines aux pancraces

Les gens qui souffrent sont pareils, au dire, vrai,

des gens de non-métiers cramponnés à leurs poids

Une charge d’ici, une à l’État en croix

et le beau monde n’attend plus que leur progrès

Cela vient rarement comme un miracle au sang

Désespéré d’avoir manqué à tant de grands

il programme sa mort en votant son suicide 

remboursé par l’État aux frais d’extralucides

Herbicide le sut, Gerbovie le reprend !

Paris l’a accueilli, mais Lutèce est-ce rien ?

Car Verdun lui revient et Allez Rizn le prend !

Pendant ce temps quelqu’un va mal coté à bien 

C’était de la démoralisation à nu

la répression vers le bouclage du sujet

par milliers mis à mort au prétexte manger

Le tour et la fin chiquée de Sa Révolue

Y ont cru les ineffables entre Lustucrus

atomisés par entre saligauds, des jamais lus

ni à entendre ni à lire, aucun passé

devenus à nourrir pour l’État à rosser

La révolue française est une erreur, majeure

Aucun moyen de vérifier, ni télé, ni histoire,

l’oubli dans les motifs, le culot, la terreur

Oui ils l’ont fait, par la cause qui reste à voir 

Alors vous qui voyez quelqu’un vous aurez bien, non mal,

En a.l.

Non à accuser par le crime un État fou, mais à voir, lu

un être nu

Parce que l’État ne donne pas la vie mais la garde au mieux

Sans se taper Dieu 

Il n’est pas là à gratter tout ce qui se peut gratter l’État qui paie 

qu’on paye

Son temps requis mal chipé

Et je te ferai dire : on eut voté l’abolition de la peine de mort, tu•oublies ?

Non donc alors pourquoi quelque encalfeutre, non loin, l’aura rétablie ?




Le cabinet ne fait pas devis.




https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/textes/l17b1100_proposition-loi

Au chapitre III, article 5, alinéa 4, nous examinons le cas d’inférence des termes « allié » et « ayant droit ». Le texte adopte une tournure privative, le médecin ne doit pas en être. Si c’est pas son allié, enfin bref, c’est la clause de réserve paradoxale. Si le médecin consent à abréger la vie de tel souffrant, c’est un allié. Si c’est son allié, la loi dirait qu’il n’a pas le droit de pratiquer l’euthanasie sur son allié. Si ce n’est pas son allié en la circonstance le médecin ne procède pas à la fin de vie. Ayant droit ? C’est tutelle et succession. Nous avons pensé… vous avez lu mon livre ? … Vous estimez avoir quel droit ? … Si la loi est votée, le médecin sera ayant droit et n’aura pas celui d’appliquer la loi d’euthanasie. … Nous avons pensé que les médecins auteurs de livres n’auront pas droit d’abréger la vie et la souffrance de leur éditeur malade. Et réciproquement. Le médecin autoéditeur de livres, étant son allié et son ayant droit, ne votera jamais pour l’euthanasie ni le suicide, de soi ni de tout patient malade le sollicitant pour la loi nº 1100. Fin de séance. 











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