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Le sens de l’orientation

À lire dans l’actualité, il appert une chose que l’on ne dit pas ou peu, mais qui serait structurelle de la politique française. Les dernières années permettent de considérer le problème : en France on ne créerait pas un parti centriste fort, car les gauches et les droites en seraient clivées et un fort ressentiment sourdrait d’elles contre le parti centriste et son président. Cela ne se ferait pas, ce serait implicite, parce que ce serait organiser trop le terrain politique et la vision, gauche droite, droite gauche, en serait bouleversée, comme si c’était le fin du fin de la vision et des repères politiques. Les « herbes folles et utiles », des marges des partis droitistes et gauchistes, n’auraient plus loisir de s’ébattre gaiement dans les marges du centre ; est-ce qu’elles s’ébattent dans les marges de gauche et les marges de droite ? «   nous les tenions », « nous les tenions », et « voyez maintenant, centristes, le désordre que vous avez mis là où on n’a pas le droit de faire

Quelle éducation ?

Quelle éducation ont reçu les affreux jojos qui font la politique aujourd’hui ? Est-on sûr que ces gens soient français ? Le doute est permis. Il y a des pays frontaliers francophones, des fonctionnaires de l’État peu regardants. Ce qui est certain c’est que tant de décennies de mensonges et corruptions n’aura pas encouragé que des citoyens corrects, strictement politiques, à s’engager. Le système politique est plus étroit qu’un habit inadapté, c’est la conséquence éducative de l’ajustement à un niveau fantasmé. Mais de niveau adapté, il n’y en a plus un seul qui tienne à quoi : ce sont des représentations personnelles au sujet de valorisations modiques.

Caravansérails de Poésie

  Caravansérails de Poésie C’est le concept de l’édition de poésie, les maisons d’éditions, de publications de poètes, sont à calquer sur ce modèle. En quoi ce serait discriminant, pléthore d’éditeurs qui me barrâtes l’accès avec morgue et stéréotypes, silence et pertes de temps ? Faites-vous kiosques de poésies, où la présentation des beaux styles sera respectée. Les questionnements théoriques encombrent et ne finissent d’envahir les revues, ce que vous n’êtes pas vrais, des extensions nauséabondes des revues poétiques, en ligne ! Or, parmi l es meilleurs poètes et critiques, linguistes et philosophes, l’affaire est entendue depuis bien longtemps. La poésie est coloriste et sonique, belle non seulement esthétique, raison et vibratoire, oui Vie et pensée, temps vécu, passé, repris, donné, recherché, toujours semblable à ce que tout le monde en sait depuis toujours, pas la peine d’en délirer, dérégler, vaniteusement. La poésie telle qu’elle est ce n’est plus un mystère et le reste est

La culture poétique : raison et vie

  On laisse prétendre que la réception des poètes veut un temps long. C'est n'importe quoi. C'est un art vivant. Un éditeur, des lecteurs, doivent prouver qu'ils ne sont pas macabres. Tout le monde a intérêt à prouver la vie. Cette exception pour les poètes cache une grosse gêne et un chagrin de la raison. C'est un art où la marque du féminin dans un mot, une lettre, suffit à bouleverser un vers et à changer la donne, c'est difficile et contrariant, dans certains cas, pour certaines plumes et têtes de lecture. D'où ne pas fondre en parlant d'intelligence, de plusieurs domaines et capacités, pour éviter d'avoir de la peine si la littérature, exemple, doit être la vocation de valeur. C'est pareil en sciences, dans d'autres façons de travailler utile. De même, des cours de parole, jeunes. De même, ne pas attendre 17-18 ans pour parler de philosophie : liberté, raison. On a appris comme du bétail. Peu sortent de là éclairés, du moins lucides, je

Dossier : Écoles…

  On a mis les savoirs de base, fondamentaux, au moins dès le CP : lecture, calcul, écriture. On n’a pas encore assez fait passer le message : le plus important de ces savoirs tous fondamentaux est la lecture. Parce que c’est le moyen clé pour apprendre à y retravailler et comprendre bien puis mieux, progresser, tant dans l’art de lire que dans les lectures nouvelles et découvertes ou redécouvertes au fil du temps. Les autres savoirs de base se cultivent aussi. J’affirme hiérarchiquement la primauté à savoir lire. Mais il existe encore plus important car toujours premier ou presque, c’est le parler. On a laissé cela aux familles, naturellement. Mais une éducation scolaire qui n’incite pas au parler avec la conscience d’un savoir de base, qui a brimé au contraire tant de générations et d’élèves, on obtient un peuple de taiseux. Que l’on n’ait jamais mis en classes primaires des cours d’éloquence, de lecture à haute voix, de diction, pour toute la classe, les classes, que seul l’art de m