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Dossier : Écoles…

 On a mis les savoirs de base, fondamentaux, au moins dès le CP : lecture, calcul, écriture. On n’a pas encore assez fait passer le message : le plus important de ces savoirs tous fondamentaux est la lecture. Parce que c’est le moyen clé pour apprendre à y retravailler et comprendre bien puis mieux, progresser, tant dans l’art de lire que dans les lectures nouvelles et découvertes ou redécouvertes au fil du temps. Les autres savoirs de base se cultivent aussi. J’affirme hiérarchiquement la primauté à savoir lire. Mais il existe encore plus important car toujours premier ou presque, c’est le parler. On a laissé cela aux familles, naturellement. Mais une éducation scolaire qui n’incite pas au parler avec la conscience d’un savoir de base, qui a brimé au contraire tant de générations et d’élèves, on obtient un peuple de taiseux. Que l’on n’ait jamais mis en classes primaires des cours d’éloquence, de lecture à haute voix, de diction, pour toute la classe, les classes, que seul l’art de mémoriser puis restituer devant la classe des poésies, la récitation, ait assuré le rôle de l’apprentissage du parler, mais du dire en réalité, c’est dommage. Et des poètes blâment encore la poésie à l’école et la récitation ! Ceux-là me serviront de motif pour expliquer que c’est nécessaire d’encourager savoir parler et l’apprendre à l’école, en bon soutien et pas en sophistique de l’avenir. Comme cela on sait mieux quand se taire. Mais ces personnages me seront utiles car c’est quasiment criminel d’avoir coupé l’école de la parole éduquée. La honte, y cuire, un four ces écoles de la république. Il n’y a que ça : des écoles de la république. Mais des fours…


Pas Français


Il y a tant de poètes qui ne sont pas français

Il y en a moins à l’étranger que dans le Pays, mais

c’est pour cela, sans lire qu’on, les Cons de France, au fait,

des parutions internationales, moindrissent leurs rejets


Ce sont les enfants du pays, enfants dupés, •E•I• !!!

Et les gognolitos qui gouvernaient, tout nus, se fichent 

de la gueule de France au monde « ah oui, nous fûmes quiches ! »

Et ces gros salopards continuent leurs faux arts, « PA•Y•(E)•S »


Les autres, les auteurs, les poètes, alors, des profiteurs !

90% n’ont rien de l’art ni du métier, des poémeurs !

Vous avez l’autre, là, le Saint-Dit-Q, Le SNE !


Syndicat National de l’Édition, … Crèves-y, Con !

Le mot de Poésie est usurpé, par des haineux 

Les principaux haineux de la République où y’en a des Non ! $




J’en dus mérité aucun mal


Qui se chargent de honte et mal,

que moi seul pourrais les porter,

se sont trompés, d’une, et sortez !

Mais pour toute ? Et, si seul,


C’est quelqu’un et toute famille…

D’où j’en viens je n’irai, jamais,

peut-être plus jamais en vrai…

Mais ça société s’est permis


Moindre leçon des en plus cons

que tout salaud qu’en rien fût bon…

C’est une race et cas mordus


Il faut s’y faire une raison

Je n’étais rien mais, très déçu,

qu’ils sussent rien ; chrétiens ; mais non ?




Original


Voilà donc ce que nous pouvons vous dire

Nous n’avons rien à vous transmettre, maîtres

Lendemains de la Terre, est-ce l’admettre ?

Vous en aurez toujours à s’ébaudir

À s’ébaubir et à contester seul

Si nous en restions là ? Je veux, ils veulent

C’est plus rapide et j’ai gagné la place

Si je savais en refaire une gueule !

Même ces caractères, qui s’encrassent

Je ne sais quoi dire aux luttes des classes

Si ? Je puis me permettre hein ? Si je le l**l ?




JeT’AimeonNuit🌛™️

La France les plus mal éduqués dans le monde

J’y pense à l’instant de ma vie ma mort seconde

Il faut faire moins fou et bien dans le rang des vivants,

sachant lire pourquoi, vivre éternellement ?

Mais ne jamais clamser dans torts, systèmes chiennes 

La France était le Parc des Bourges inhumaines




Ritournelle (à reprendre ensemble)


Dieu a une âme, c’est un chant,

comment cela se fait, comment ?


Vois-tu, est-ce par la prière

qu’apparaît cette lumière,


couleur jaune dorée où aime Anna que j’aime…  ^^

C’est pour ma pause et si tu la lisais en rose ?


Chacun aurait son ambre Woaoû,

l’ambre sympathique… chez vous !


Parfois le soir en m’endormant

je pense à vous, grande maman :


est-ce de moi la déraison

ou vos limites, création ?


Y’en a-t-il autant que sur Terre, à l’Univers…  ^^

C’est vous la poésie, qui l’écrivez, ainsi !


À l’ancre cosmique, Woaoû,

l’encre publique de chez vous…




Ta Bulle


Je m’appelle Magie de Poésie

Poésie, pour les intimes, choisis

Il y a fort longtemps, donnée ainsi

que vous me connaissez, livres de vie


Je les faisais livrer par libellule

Ces reines-là ne manquent pas de bulles

On peut m’accommoder, en beaux bidules,

en lecture, en musique, sans scrupules


Je regardai dans la télévision 

On n’y voit pas vraiment mon opinion

J’ai donc arrêté sur une impulsion

J’ai repris la lecture et ma mission


Si j’étais un sketch téléphoné pourquoi me crier ?

Riez !


C’est fort désagréable, vous savez, crier au téléphone

Ta Bonne


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