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Les métiers utiles et la morale, exceptionnelle

La poésie c’est un milieu qui a du mal à se classifier comme la chanson : pop , rock , classique , jazz , j’en passe. Faut deviner tout à peu près, on est à la peine et qui sait si les poèmes ne sont déjà en exercices à l’école à compléter par les élèves pour leur ajouter rythme et rime. Les labels ont tendance à fuir le problème, voulant que ça vienne du corps des poètes. Se classer en poésie contemporaine est une facilité et une nécessité si en poète on veut vivre : facilité, nécessité, vie, moindre des choses. On est compréhensible de tous les siècles de poésie, c’est comme ça. S’y promener est relativement une facilité de lecture. Avec une certaine mémoire, travaillée par nécessité, la vie de poète est un beau métier qui valorise une langue de vie et de raison, le temps est bon qui, chaque jour, suffit à sa peine. Si je faisais profession de critique, comme on en trouve en chanson, je poserais en entretien des questions pas normales, mais c’est aux journalistes politiques de commen

– Et lui, là, pourquoi il rigole ? —

La scène imaginaire du clown qui rejoue sempiternellement ses quelques vieux tours parhétiques, en feignant de pleurer : —  Voyez, les enfants, il est triste le livre, l’arbre est mort pour lui, alors la poésie ce n’est que ça. Les mots doivent porter leur part de peine et de culpabilité, tout cela pour vous ! Pour vous donner des poèmes ! Pas trop jolis alors, vous devez respecter les arbres.  Ce clown avec son idée fixe n’est nul autre qu’un aka parent bonhomme qui se réserve le droit à lui seul de faire toutes ces mauvaises blagues, de travestir la réalité qui résulte en partie de son métier mal fait depuis quelques lustres et du fait que l’on ne peut pas mettre sur le marché cent belles œuvres de poèmes en langue française par an avec ce mode de culture, mais aussi peut-être parce que les clowns qui griment leur dilettantisme sous des airs de spécialistes et des couvertures aux noms légendaires, n’ont pas assez lu ce qu’ils reçoivent et, au nez et à la barbe de la société qui a tr

C’est un monde

Si nous nous éloignions d’un monde, en gardant sur lui un objectif tel un téléscope q u i a j u s tera i t à tout instant l’observation de ce monde, afin que nous puissions voir en réalité selon nous les avancées de ses œuvres et des choses auxquelles nous tenions, raison suffisante de l’observer en nous éloignant toujours de lui, ou longuement, à vitesse constante ou variable, verrions-nous de ses œuvres l’image fidèle, réelle, à ce monde, ou bien ? Est-ce que, malgré notre télescope bien réglé pour nous montrer en taille conforme à ce que nous voyions dans ce monde avant de le quitter, sauf en l’observant et en lui écrivant, de loin, malgré tout, l’image que nous recevrions et lirions quotidiennement de ce monde en continuel changement et reprise de lui-même, ces images et ces œuvres n’auraient-elles que l’apparence de certains caractères reconnaissables, assez pour nous faire penser que c’est bien là le monde que nous connaissions et qui ressemble à ce qu’il est ? Mais p

Calliope et Érato au pays du viol

Que vois-je en librairie comptemporaine, au rayon des recueils de poèmes contemporains ? On dit moins recueils, mais on affiche le sous-titre poésie et on parle autant de poètes. La plupart du temps je vois les livres, que j’ouvre, même ailleurs qu’en librairie. Sur le grand livre d’Internet aussi. Je vois donc des livres, de poètes, publiés par des éditeurs. Oui, mais ce sont des poètes. C’est tout, ils n’en ont pas le métier. Je ne leur dénie pas d’être poètes, comment aurais-je cette dureté méchante ? Mais la plupart en écrasante majorité, ne fait pas ce métier, du moins pas dans les livres qu’ils publient, ce qui est tout le problème, pour ma part complète et entière. Les raisons de cela, va savoir. Les éditeurs ont probablement des responsabilités encore plus graves à ces absences, que les poètes eux-mêmes, qui ont en énormément aussi. « Hâtez-vous lentement et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez… » L’ar

À Sa Konsom

  Vous ne recevrez pas votre chèque-énergie si vous n’appréciez Ma-gouverne-poésie Nous vous donnons des clés pour une écologie équilibrée en tempérant le jour la nuit   Tout écart de conduite et de température est un gaspi livré à Sa Littérature Cette saison, baisser d’un degré ou/et de force, réparti entre nuit et jour, ÉcoS’Amorce • Ma gouverne • Épargne • Énergies •

Tout pointillé

Et puis tenez, Bidule, au sujet de ce sujet difficile,   nous aux dossiers et à l’écran on n’a trouvé aucun mobile C’était quand là qu’un type un peu marrant qui chantait en ramant comme nous en avons tous réacquis le droit même à présent Tenez-vous bien, Bidule, un homme, au douzième siècle chrétien, par l’assemblée d’un peuple de région fut condamné au rien et ces gens ne sachant pas ce que c’était l’ont mis à néant • Et moi qui tenais ça pour une légende, moi la tenant… Je ne mentionne pas la torture terrible endurée tant de jours par ce condamné innocent qui chantait en ancien amour Aux dossiers on refuse de garder cela encore un siècle parce que avec mille et les superstitieux c’est très complexe Mais ce fut bien gardé et à l’écran on a assez de ça Le porno au JT de 20 heures capté… où qui passa…  En quelle année ? Cela correspond à ces satanés voyeurs On n’en sait rien et c’est tout leur pouvoir aux attracteurs

Salut

  À Gerbovie À faire tourner le progrès comme ces là travaillant tant d’impulsions m’avait dit ça  Je ne cherche pas rien du tout la vérité  Arrêter le dirlée, pas du tout la dicté  Vous étiez assez cons dans votre genre, alors m’eût dit quelqu’un aussi qui n’aurait pas eu tort et de bien m’employer, à la bonne virgule, celle-là qui avance lorsque je recule Et puis c’est tout no problemo cas de le dire Préparer ça, c’est important, le devenir Et puis t’as l’autre act•élément qui ambitionne d’expliquer à quelqu’autre et connu que t’es bonne On est bien là mais à part toi et ça salut On t’écrit depuis le logis où j’étais nu sous mon duvet, sous la couette de mes objets Le pyjama des mes habits, découvert de mon j’ai

Bonjour

 Ès-lutte : La guerre contre l’espace-temps…  Ils n’ont jamais rien dit avec les mots lors du bicentenaire à la révo’ Pourtant, maman, ils avaient tout de quoi après mai 68 et de la voix Si moi•je laisserais tout négligé Vous aurais des poèmes dits la crème  d’un fichu pas possible à part ces fous qui n’ont jamais compris l’histoire aux cous Cela les humanise, un peu, parfum La révolu française est un purin à côté de la mémoire qui hurle Il n’est pire raison que l’arbitraire et employer des mots avec sans sur l• avis de gens •  evil  de Jean • V • angeur 

PAS des LUMiÈRES • pas UN FLasH • En attendant l’Esprit1 ~> Hi !

  https://www.culture.fr/franceterme Lettre à l’Académie Française Sur la terminologie quantique  À l’attention de la commission du dictionnaire de l’académie française Lundi 2 octobre 2023, France Objet : l’emploi en souffrance des termes informatiques « bit » et « qubit » optés de l’américain, en langue française. Ces deux termes occupent une place importante dans la vie quotidienne de millions de nos concitoyens. Bit est issu de l’anglais via la contraction de  binary digit , c’est-à-dire : chiffre binaire (source Wikipedia) et il signifie déjà en lui-même l’idée d’un morceau, d’un petit bout. L’autre terme, qubit , est plus récent et veut dire quantum bit parce qu’il désigne la plus petite unité en informatique quantique, qui est l’avenir de nos ordinateurs, qui se prépare et repose sur un saut technologique fondé par les connaissances de la mécanique quantique, infiniment plus puissante en matière de calcul que les plus puissants de nos ordinateurs actuels.  J’ai deux

Les marches sinusoïdales de L’ADN

© Creations, Shutterstock « ~ Salut, c’est Tony. Donc je résume pour les préparatifs du soixante-huitième anniversaire de la remise du prix de la découverte de la structure en double hélice de l’adn, en gêne éthique (ou étique, cela dépend des écoles). Les retardateurs, là vous n’aurez pas les zkus. En rouge fléché c’est le sens de la marche de la décadence. “ À poil !”  Ta gueule le barjot.    En jaune c’est la zone, pour les connaisseurs, je connais pas que ta sœur. En vert kaki c’est la zone d’avant, qui pourrissait l’ambiance. Et là en vert pâturage, c’est la zone de procès où les nouveaux se font engueuler au prétexte que c’est la réincarnation des anciens. Vu que c’est une double sinusoïdale, un alternance cyclique. Des réponses ? Non, c’était tout trouvé. Bien. » Génétique : la double hélice n’est qu’une des formes de l’ADN — Science&Vie