Dans la fétide désaffection de la poésie française et les maltraitances qui s’ensuivent pour les véritables poètes de sang et de cœur, on trouve, {on s’en souviendra fort longtemps devant l’histoire des erreurs avérées et revoulues opiniâtrement et sans humilité} une correspondance avec un bordel superstitieux. Les nerfs des gens actifs dans ce pays, à confondre leur diplomatika et leur livrée avec le sens de la France, n’ont produit rien de plus que ce qui fut, ne l’ont pas élevé, ne transmettent que le refus d’évoluer, ensemble, émotionnellement, ce qui n’est pas autre chose que l’évolution humaine et le sens de la création. Nous n’avons aux manettes nuls autres que des inculqués, des instruits par commande publique, des adaptés en fonction du moindre effort, des topés au moment de reproduction opportun pour l’État paresseux et le tutti quanti. Les partisans du moindre effort vont au rythme d’un bordel et se dispensent de créer, de Pétaouchnok à Kalamazoo, superstitieusement.
subtile la déglingue ou la délivre
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