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Intellectwell ou Diplomatika ou quoi ?

D’ores et déjà j’ai un plan de lecture car je pensais un peu plus tôt à ce qui en France peut participer de la guerre même en temps de paix en Europe et dans les foyers que nous connaissons dits sensibles foyers de conflits ethniques. Cette idée n’est pas évidente à voir ni à expliquer c’est une forme d’héraclitéisme à laquelle j’incite à penser en l’admettant a priori dans la mesure où nul ne peut envisager l’ensemble de la causalité qui peut favoriser la guerre sans que ce soit limité par des frontières qui n’ont pas tant de protections à nous apporter à la vitesse où les paroles et écrits circulent et les barrrières linguistiques ne sont pas tant non plus. Je pensais à ce que je dirais à des gens en France lorsque les guerres qui nous heurtent auront pris fin ce serait de ne pas recommencer certaines erreurs qui sont propres à notre communauté d’idées dans notre pays car même si nous nous déclarons majoritairement pour la paix il y a des tensions et des faibles dans l’éducation et la culture qui peuvent contribuer à engendrer des aggravements ailleurs. Ce n’est pas un effet dit papillon c’est bien plus réel et causal que ça c’est une accumulation qui peut peut-être s’observer mieux que jusqu’à présent par traçabilité même si on n’a pas à en faire une science car on doit savoir et admettre ce qui est philosophiquement de bien commun plus et mieux qu’on ne l’a fait jusque ici. Je complétais en me faisant remarquer que c’était difficile de changer les travers que certains ont choisi de suivre l’ont-ils choisi je ne sais pas. Il y a toujours est-il ce bégaiement idéologique qui n’est pas qu’un effet de presse. Cela relève de notre politique et éducation nationale et de l’avancement du terrain philosophique. « Chasser les wokes » cela me fait penser à : chassez le naturel il revient au galop. Mais qu’est-ce que le naturel Woke c’est quoi Si on laisse des mots en souffrance en pliant des idées à demi folles pour les brandir et les agiter l’erreur revient au galop sans le naturel. C’est une zone de folie. On parle de faschosphère mais est-ce réellement le niveau du problème C’est un phénomène effrayant d’abord. Lisons. 

J’affirme que ce méli-mélo de concepts rachitiques qui font surréagir est un nerf de guerre. 
Plus grave, ce débat passe pour le fin de l’intellectualisme auprès des arrogants, jusque dans la modération médiatique telle que celle du journal. C’est considéré comme de la haute voltige puisque les termes de « science », « université », « woke », « islamogauchisme » recouvrent des pensées et des faits qui ne correspondent pas aux définitions courantes et descriptibles de ces mots, mais à des codes intériorisés par les tenants de ce débat qui s’y éclatent littéralement avec une frime et une prétention à l’expertise, auxquelles ils ne reconnaissent que leurs pairs et adversaires, comme sur un super ring où les plus malins des intelligents ont leurs entrées. 
Parlons de perversion. J’en appelle notre peuple à cesser de câbler l’Europe d’une chaîne humaine qui provoque la guerre sur le continent eurasiatique à force de se bourrer à ce débat de pointe pitoyable qui trempe notre pays dans la mouise internationale des conflits y compris armés. Car nous avons là des pros du nunchaku des concepts auxquels ils ne versent qu’à raison de leur délire de confiscation morale des idées. des idées. 


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