D’hier aise
Excuse-moi de la folie qui m’environne
Il y a erreur sur la personne
Les ennemis de la poésie qui sont nés
au pays des vibrants sonnets
n’aimeraient pas non plus la musique et le temps ?
Ce ne serait pas étonnant
Ni la féminité, les fleurs d’hier et les âmes,
les fournisseurs et la réclame
Eux aimeraient que tu me plantes car si t’es
docile t’as publicité
Ce serait tout, une nuance, un pas qu’évite
l’accusation d’antisémite
Mais au nom de la paix, du silence et du ton
sans faiblir ou c’est le bâton
Un monde à refouler dont la vie n’est en rose
qu’aux rigueurs fanées de la prose En aparté
Lorsque vous sortirez faire un tour, les enfants,
n’en faites qu’un sur votre porte et je serai vivant
Quelqu’un m’a raconté une histoire, une erreur
Un homme avec ses clés qui s’enfermait à l’extérieur Si vous voyez ce que je veux dire
Il y a des adultes qui pourraient…
créer de la valeur
…
Il y a des chansons jolies, ça fait…
un tout petit peu peur
…
C’est un placement sûr, Planche À Billets…
Après, j’aurai mes droits d’acteur
…
Je ne veux pas mourir ce soir, parfait
Vincent Delerm, en chœur !
…
Le temps de l’un à l’autre au bout du quai
est revenu par cœur
.,..
Être inconsciemment Plume Et Joueur…
vivre avant, vivre après,
•,..
Je connais quelqu’un qui n’eut pas chaleur…
Mais c’était avant tes
…
Ne cherche pas midi à quatorze heures…
C’est comme versifier :
…
Balance, vieux piano orchestrateur…
C’est un ami, doué
…
Espérons le hommage, entier, bonne heure
Belle mentalité
…Échos
Comme une fleur, je me dis : Vé ! Bien fait !
Je t’apprendrai par cœur
…
Mais en te lisant, je te sais… assez !
Je suis troublé, quel chieur…
…
Je ne peux pas me concentrer, essaie !
avec un tel blagueur
…
Ça va trop loin dans ma pensée « Français »
comme un « sacré marqueur »
…Jours d’éveils
Certains jours je t’écris un poème… avant… sept
Parmi l’inspiration qui nous fait une fête,
je vois une image de toi, en transparence
Ton troisième éveil, ton visage en mouvance
Un intérêt accru qui traverse les ondes
Toi en personne, grande, amie lisante et monde
Je me suis demandé si tu me devançais
Une muse présente inspire et lit la paix
Il se peut qu’elle prie, en même temps c’est vrai
La spiritualité n’est pas un mal français
ni un bien national et, le temps de l’écrire,
votre attention est demandée, vous pouvez rire
Nous en aurons de ces marrons et de ces jus de fruits
Bruit
Mais moi j’ai bien aimé ce moment sympathique, il est unique
MusiqueLe goût respecté
La vie est restée appauvrie, longtemps, mon frère,
à cause des pouvoirs, calculés par bébés
en sorte morale ou de nobles et premiers,
inventées bonnes pour ne pas aller en guerre,
mais pour rester chez soi : apprendre à reconnaître
La vie est restée appauvrie, longtemps, peut-être
Particulièrement dans la région !
Aux places usurpées par le pognon !
L’amour aura souffert, c’est un corps, c’est une âme,
une mémoire, un jour qui ne veut plus changer
Dans la spécialité, le temps est très chargé,
c’est indirect : un livre, un mort, un cœur de flamme
C’est très peuplé, mais dans l’espace avec courage
on doit se préparer à faire du ménage
Particulièrement dans la région !
Aux places usurpées par le pognon !
La tomate aura vu défiler le progrès
On a perdu le goût des tomates d’antan
La faute à quoi tu sais, est-on faible au Satan…
Mais entre nous soit dit, Sa Tomate aime au gré
de ses caprices et sensible, saisonnière,
parfois c’est la nature, il faut savoir s’y faire
Particulièrement dans la région !
Aux places usurpées par le pognon ! Amour
Je n’ai pas peur de la souffrance de qui j’aime
lorsque le mal est fait et quand je sais pâtir
l’amour, la vie, le temps rester seul et tenir
Je crois en qui je sais redevenir de même
Tous les amis ont les moyens de fins heureuses
sans excepter la reconnaissance, amoureuse
Il n’est pas un seul ennemi qui ne l’ignore
Chacun ira sur son chemin avec ses torts
Avons-nous des raisons, nous n’en sommes pas moins
Si nous en restons nuls, nous connaissons pourquoi
Sans la raison, il faut rester chez soi, au loin
Qui a raison à faire en soi connaît la loi
Plus rien ne restera vivant de la folie
Rien n’est égal ici que ce qui est commun
à la sainte raison humaine qui veut bien
donner la paix et la garder, Mélancolie
L’amour, l’œuvré, te reviendra, pauvre malade
Par d’autres voies, d’autres raisons, d’autres tirades
Vous en serez nanties de raisons, tous les deux
Le temps de t’oublier est long, il est précieux
Si ta violence efféminée ne le fit pas,
quelque soin masculin l’atteindra par le rang
Si tu savais de ta laideur le bon trépas
vous y seriez restés avec quelqu’un plus grandc2
Je veux ne bouger qu’avec toi, viablement
À la vitesse de la lumière, s’aimant,
nous donnerons assez de temps au lien vital
pour éloigner la fin de nos paix animales
À la vitesse de la lumière, s’aimant,
l’espace nous révèle un don du temps présent
pour éloigner la fin de nos paix animales :
il suit infiniment moins la marche fatale
L’espace nous révèle un don du temps présent
et nous unit, en théorie, pratiquement
Il suit infiniment moins la marche fatale
La constance nous lie en la bulle idéale
et nous unit, en théorie, pratiquement
Je veux ne bouger qu’avec toi, viablement
La constance nous lie en la bulle idéale,
nous donnerons assez de temps au lien vital Alchimie
Je trouve çâ un peu fort et, par instants,
j’y crois moins qu’avant
Les volontés bien distinguées de la nôtre
et la vie d’apôtre
L’amour n’est pas pour soi, c’est qu’en notre vie
y aille être ravis
Vous avez là des gens plus stricts que Yahweh
C’est trop, des Français
Je ne veux pas être un désordre avec toi
Merci, pas de quoi
Je ne fais pas de l’échangisme et c’est tout
De qui suis-je fou ?
« Vous êtres trop confiants ! ! » sans un pet de mouche
ni mal une couche
« Aucun peripherikakos ! » Tracez-tous
un cercle et des choux
Chacun y est arrivé la foi activée
Pour qui s’en priver ?
Ce vers est de Mon Dieu et sa rime sonne
grâce à Notre Bonne Monologue intérieur
Je suis amoureux d’une personne qui m’aime
songeais-je, en étant jeune et seul devant ce thème
La solitude était aussi de la mission
quand je m’entretenais, au nom de la raison,
avec divers penseurs en société non lue
Je croyais donc, avec espoir, joie frémissante
Elle aura avec moi quelque affinité lente,
l’une d’aimer, l’autre de croire au tout, élu
Nous aurons goût, en nous parlant, à écouter
Et plus tard, un problème avait le don bizarre
de rester sans réponse envers ma vérité
Pourquoi continue-je d’aimer à des histoires ? Jeux
Jeux d’immaturité psychoreligieuse,
vous êtes vous trouvés parmi des comédiens
émus du reliquat, parés de formes pieuses,
voués à partager leurs alchimiques biens
comme la part commune incombe à la personne
en considération qu’elle n’excepte rien ?
Est-on représentable en jeu naissant dont sonne
l’accent par le pouvoir, précipité sur table,
dû par assuétude à un temps qui grisonne,
Bien amicalement, à l’enfer véritable?
Où reposez-vous, jeux, inlassables refrains,
malencontreusement dépensés pour un Beau ;
En quel fond de l’espèce, à quel retour prochain,
tendre pour accorder les bilans, les cerveaux ?Au monde des légendes de la vie
C’est un État de gens qui ne ressemble à rien ou presque
Comme si on avait admis et détecté le mal dantesque
en se mobilisant et en priorité pour lui
donner amour, sécurité, faveurs, et puis la vie
Sans aucune pensée profonde pour le sens humain
des choses, du sacré, une maison interne où vient
le travailleur, le soir, et le flottement de son âme,
être de là, pour tant d’histoire, ah non, monsieur, madame
Si pour comprendre ces métiers de retape anonyme,
on doit cauchemarder en amants négociés, la rime
est n’importe où ailleurs qu’à l’endroit où un vers la veut
C’est magnifique, sentez-vous, tout y est un comme eux
Si fallait trimer pour un monde de poètes qu’eût
l’ancien régime, on ne vivrait pas de riens attendusSeconde lecture
La poésie rend-elle bête ? Non !
C’est le temps de sa réception
et de la vie qui la maltraite
On trouve là une exception :
L’œuvre et la vie jugées ensemble
si par les forts poèmes tremble
paresseusement de fou lire
ou de douceur, qu’on sût venir
Autrement la littérature
distingue avec quelle culture
Il reste des rythmes, des voix,
des airs, des visions, des poids
en poésie contemporaine
si lointains, si lointaines Le Père « Sonnage »
Le destin des poètes anonymisés
– depuis le siècle où se perdaient dans des duels
les ancêtres des édits individuels –
est resté froid de ceux qui l’avaient méprisé
La poésie serait un mot pour la pensée
auquel correspondrait ce qu’on y veut verser
Comment est-ce possible en présence des livres
qui montrent d’elle un art de l’ouvrir et la suivre ?
On peut penser que manque, à des précieux lecteurs,
référent objectif personnel et savant
devant les poèmes d’auteurs ; parfois, ils pleurent
Le Père « Sonnage » est absent de ce roman
En société correcte et bien dramatisée,
pour « ce mot vêt mâman », même si Poésie,
l’affront est grand ; on doit sévir, et les lazzis
s’expriment par le mauvais goût aseptisé Chroniques
Les Français sont des gros baiseurs
Preuve en est, ils se replièrent
au vingtième siècle, avant-guerre
La Poésie sait le malheur
Tel un zguègue qui se rétracte,
comme une création, le tact,
les nnasée 20 avaient donné
en l’art rien plus que vous savez
La fête à neuneu et dodo
Parce que le méchant Hitler
n’aimait pas vous et les clodos
Nous la paix on la doit à l’art
Et le petit Popot comment il va aprës bander
Scander
Là qu’on a sacrifié avant après depuis je dis Merzi
Poësie Personne l’aime
si vieille c’est grave et
ça remplacerait presque la foi
Je t’aimerai de poésie contemporaine, à lire
sans les accents controuvés de la haine et du délire
Je n’ai pas eu une mauvaise idée
à te confier la feuille que j’étais
J’en suis avec la mer de tes jamais
restée j’en reste là au combidée
Oué j’essaie que c’est ben et au l’ave cavouk
Eux auront de quoi nier mais pas dû tout à mère
ce qui y en est le suc et comme qui rabroue qu’
à polluer sans raison du grand art, c’est père
J’ai juste besoin de la paix de ton amour
et ton corps avéré en soit le pain du jour
Nous fûmes dans une culture antipoète
où on ne fit ni vers ni prose, on fit fluette
Cette grande personne, elle « déconne »
C’était une idée de haïr le bien
et t’as qu’à voir on est dans quel plus rien
avec la raison sans le son, résonne… À mon avis…
On a perdu la lecture en perdant quelqu’un
En perdant en action, en voulant savoir rien
En croyant que c’est ça à faire avec le bien
En montrant à un autre au sens qui fût le sien
Comme ci, comme ça, pas du tout comme lien La poésie la vie
La poésie en trou autre achat
en creux, pardon, c’est en cadeau
une bonne idée pour les mots
Je t’offre Le sapin aux chats
C’est dans le genre du délire
assumé par l’État où luire
et même par les gens du livre
T’as pu le lire en étant ivre
sans décoller de la banquette
où t’as trouvé la place, avoue,
de poésie et de l’enquête
Si fallait exister sans nous…
Voilà on devrait lui créer un monde, à ce poème
en n’arrêtant jamais d’avoir de quoi lire en françaime Histoire d’un genre
Monsieur Platon, deux ou trois mots ?
Je suis ami de la sagesse
Si je faisais, tenez, plutôt
comme cela aux poétesses
il n’y eût pas assez d’ἀνδροποιός
La vérité aussi nous blesse
lorsqu’elle n’est qu’un mot en trop
… Une idée sue, que je caresse ?
La lumière au gré du jour
émotionnellement toujours À l’humeur de la transgression
Mais arrêtez de danser là qu’à des glanduesz en ronde
Si vous n’y pensez pas, comment, et à chaque seconde
Évadez-vous vivante, évadez-vous du vain, voilà
Allez-vous recharger à la buvette à pied, blabla
Mais revénèrez-vous oui vous reviendrez-vous ? Mais d’où ?
Dame oui, tourner en rond en bondissant comme des lapinous,
la revoulant ainsi, là je ne sais comment, ou jouant,
ça va rester de tradition, vous appelé-je, nan
L’énergie entre fous auxquels nous avons tous pris part
dans le pays nommé comme vous le voudrez, se barre
Un peu importe oui mais pas gardiens de pile uranium,
pas là en déshérence à condition de lire un baumelonde
Mais à refaire un tour de la pensée universelle
vous à votre affaire à danser vous y serez rebelle
et arrivée, vous êtes près, d’un zéro d’arc de rime
Vous finiriez comptable dans un zoo, à ce régime
Mercredi à Sitaudis.fr
Ils pourrissent ma vie
Ça fonde son art indéterminable, Si,
Sur marque Poésie
Ça n’en a pas fini l’étude littéraire
qu’on sent, se déblatère
Ça fait éviter la Rime Hitler en Père
national de nos vers
Pourtant c’en sont des gras kékés poudrés parqués
par de grammées cockées
J’avance aux rythmes des enfances efflanquées
de potentiels claqués
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